A propos
Sourire Un Jour est une association à but non lucratif déclarée officiellement, fruit d’une amitié tissée entre professionnels ivoiriens et européens qui partagent l’idéal commun de servir les malades démunis. Elle compte à ce jour des chirurgiens, des médecins, des anesthésistes et infirmiers. Depuis sa création en 2012, nous avons pu redonner le sourire à plusieurs centaines d’enfants. Qu’ils soient atteints du noma ou défigurés par des malformations congénitales ou pathologiques, ils ont pu retrouver leur sourire. Notre force réside donc dans les actions que nous menons et dans notre lutte continue pour effacer les effets dévastateurs de ces difformités faciales. En nous unissant pour soigner le noma mais aussi tout autre handicap (fente labio-palatine, tumeur maxillo-faciale ), nous pouvons agir beaucoup plus efficacement et permettre aux patients d’avoir une meilleure vie, et de s’intégrer socialement.
L’Association Sourire Un Jour
et son projet humanitaire
Les différents types de malformations faciales traités par Sourire Un Jour impliquent de nombreuses interventions chirurgicales, des consultations et un énorme travail d’organisation. Nos missions se concentrent donc sur l’aspect chirurgical réparateur et a globalement des enjeux psychiques.
L’Association a pour but de soigner en Côte d’Ivoire les patients souffrant de NOMA ou de difformités maxillo-faciales. Elle prend donc en charge prioritairement les enfants qui ne sont pas suivis faute de moyens techniques, financiers et/ou par manque de disponibilités de médecins spécialistes.
L'ONG Sourire Un Jour organise bénévolement des missions de chirurgie réparatrice cervico-faciale. Elle se charge du recrutement, de l’identification et de l’examen de patients à traiter qui bénéficieront d’une prise en charge gratuite totale des lésions dont ils souffrent.
Afin de s’assurer de la réussite totale de chaque intervention, l’ONG met en place un programme de suivi, de contrôle et de surveillance des patients opérés. Ces opérations sont réalisées conjointement par des experts Ivoiriens et Européens qui participent bénévolement au projet.